Le mois où tout le monde est devenu boulanger, jardinier, et surtout… un génie de TikTok, c’est, c’eeeeesst ? Mars 2020 ! Les rues étaient désertes, les maisons étaient pleines, et les téléphones chauffaient comme des petits pains au four. TikTok, cette application qui nous a fait danser sur des tubes improbables et nous a transformés en stars d’un jour, a aussi été accusée de rendre les gens idiots. Et, soyons honnêtes, Wejdene n’a pas exactement relevé le niveau. Petit retour sur la grande marche vers l’idiotie collective… Storytiiiime
TikTok : L’usine à bêtises du confinement
Enfermés chez eux, les gens ont trouvé refuge dans les challenges débiles de TikTok. Qui aurait cru que faire semblant de danser en faisant des grimaces ridicules serait le summum de l’accomplissement humain ? Entre les chorégraphies bâclées et les lip-syncs hasardeux, TikTok a permis à chacun d’exprimer son potentiel… de bêtise.
Mais ce n’était pas seulement les danses stupides et les mimiques exagérées qui faisaient le buzz. Non, il y avait aussi ces tendances pseudo-intellectuelles où les gens expliquaient des “faits” scientifiques à grand renfort de mauvaise prononciation et de théories fumeuses. Le tout, bien sûr, en 15 secondes chrono.
Wejdene : L’étoile montante de l’orthographe déclinante
Et puis, au milieu de tout ce chaos numérique, surgit Wejdene. Avec son hit “Anissa”, elle a prouvé que l’on pouvait devenir célèbre sans même savoir conjuguer correctement un verbe. “Tu hors de ma vue” est rapidement devenu un mantra, un cri de guerre contre l’éducation conventionnelle. Pourquoi se soucier des règles de grammaire quand on peut faire des millions de vues ?
Wejdene, cette nouvelle icône, a captivé l’attention avec ses paroles simplistes et ses vidéos léchées. Elle a prouvé que le talent n’était plus une question de savoir-faire, mais de savoir-faire rire – ou pleurer, selon votre niveau de tolérance à l’absurdité.
Le triomphe de l’idiotie moderne
Alors que le monde sombrait dans l’incertitude, TikTok et Wejdene ont offert une échappatoire. Mais à quel prix ? Les neurones ont-ils pris des vacances prolongées pendant le confinement ? En se focalisant sur des divertissements aussi bas de gamme, la société a-t-elle franchi un cap dans l’idiotie collective ?
Peut-être que le confinement de mars 2020 restera dans les annales comme le moment où l’intellect a fait une pause, laissant la place à des activités qui, disons-le franchement, n’auraient pas passé le contrôle qualité d’un cours de maternelle. TikTok a transformé les gens en marionnettes numériques, tandis que Wejdene a élevé l’ignorance au rang d’art.
En fin de compte, si 2020 nous a appris quelque chose, c’est que même au fond du gouffre, nous trouverons toujours une nouvelle profondeur à explorer. Et qui sait, peut-être que dans le prochain confinement, rêvons un peu, nous apprendrons tous à jouer de la harpe ou à réciter du Shakespeare. Mais pour l’instant, faisons des grimaces et chantons faux, parce qu’après tout, pourquoi se prendre au sérieux quand on peut être un idiot heureux ?
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