On y est ! Les beaux jours sont de retour et les cyclistes aussi… Ces chevaliers modernes du deux-roues, ces héros du peloton urbain, ces défenseurs du “mobilité douce” qui ont surtout le don de nous faire péter un câble.
On les reconnaît de loin : casque aérodynamique, cuissard moulant (trop moulant), et surtout… une tendance naturelle à occuper la route comme si elle leur appartenait.
Le cycliste, cet être qui a oublié qu’il existe des voitures
Le concept même de “piste cyclable” semble leur être totalement étranger. Pourquoi rouler sur un espace sécurisé quand on peut s’étaler en plein milieu de la route et ralentir tout le monde ?
- Un virage en côte ? Parfait pour pédaler à 12 km/h et bloquer un semi-remorque.
- Une nationale bien large ? Pas question de serrer à droite, c’est plus sympa en rang d’oignons.
- Une voiture derrière qui voudrait doubler ? Ignorance totale, voire regard méprisant.
Parce que oui, le cycliste considère toute tentative de dépassement comme un affront personnel.
L’art de rouler en meute
Mais le pire, c’est quand ils sont en groupe. Là, c’est l’anarchie.
- Ils discutent tranquillement, côte à côte, en bloquant toute la chaussée.
- Ils se retournent en souriant pendant que derrière, les voitures accumulent 2 km de bouchon.
- Et si jamais tu klaxonnes ? Félicitations, tu viens de déclarer la guerre au peloton !
“Ohlala, quel danger public ces automobilistes !” te dira le type en lycra jaune fluo qui roule à contresens dans un rond-point.
Le cycliste et son immunité totale
Ce qui est fascinant, c’est que le cycliste semble évoluer dans un monde parallèle où le Code de la route ne s’applique pas.
- Les feux rouges ? Optionnels.
- Les stops ? Une simple suggestion.
- Les trottoirs ? Allez hop, pourquoi pas.
Et s’il lui arrive un malheur ? C’est forcément la faute des automobilistes.
Le Verdict ?
On les aime bien, mais de loin.
Et surtout, pas en plein milieu de la route à 8h du matin quand on est déjà en retard.
Discover more from baskroom.fr
Subscribe to get the latest posts sent to your email.