Le Wokisme : Quand même respirer devient offensant

Bienvenue en 2025, où il est devenu dangereux d’avoir une opinion… sauf si elle suit le dogme officiel du “bien”.

Parce que oui, le wokisme veille. Et son job, c’est de traquer tout ce qui pourrait, de près ou de loin, heurter la sensibilité de quelqu’un, quelque part, dans l’univers.

Le monde avant… et après le wokisme

Avant :

  • T’aimais une blague ? Tu riais.
  • T’aimais pas ? Tu passais à autre chose.

Aujourd’hui :

  • T’oses rire ? C’est du privilège.
  • T’aimes pas ? C’est une attaque systémique contre ton identité.

Parce que dans le monde merveilleux du wokisme, tout est une oppression, et tout le monde est une victime potentielle.

L’Offense à durée indéterminée

Dans le wokisme, on ne pardonne jamais.
Tu as tweeté une blague en 2009 ?
Tant pis, tu es condamné à vie.

  • Tu as un avis ? Il est peut-être problématique.
  • Tu veux débattre ? Débat clos, parce que débattre, c’est déjà oppresser.
  • Tu penses qu’on va trop loin ? C’est que tu es du mauvais côté de l’histoire.

Bref, garde le silence et marche droit.

Les nouvelles règles du jeu

  • Le genre ? Il y en a désormais 243, et t’as intérêt à les connaître par cœur.
  • Le cinéma ? Tout personnage doit être validé par le comité du politiquement correct.
  • Les classiques de la littérature ? Trop offensants, mieux vaut les réécrire.
  • Les statues du passé ? Toutes à abattre, parce que l’histoire doit être corrigée.

Le Verdict ?

Le wokisme voulait, à la base, lutter contre les injustices.

Mais aujourd’hui, c’est devenu une chasse permanente au coupable.

Alors, un conseil : si t’as encore un avis personnel, planque-le bien.
Parce que dans cette nouvelle ère, penser par toi-même est devenu le pire des crimes.


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