À Bidart, un papa au flair de limier a levé le voile sur un scénario digne d’un film d’horreur domestique. Engagée pour garder son fiston, une nounou de 50 balais s’est révélée être tout sauf Mary Poppins. Quand le môme commence à collectionner les bleus et les bobos façon calendrier de l’Avent, le daron flaire l’embrouille. Ni une ni deux, il planque trois caméras dans la piaule. Résultat ? Des images qui fileraient la gerbe à n’importe quel parent : cris, coups, et zéro câlin pour le petit bout de chou de 8 mois.
Prévenue de la surveillance par mail, la nounou s’est quand même lâchée comme si de rien n’était. Et bim, elle se retrouve sur le banc des accusés au tribunal de Bayonne ce 3 juin 2025. La justice n’a pas tremblé : cinq ans de taule, dont deux avec sursis, et obligation de soins. Une peine salée, mais à la hauteur de l’enfer vécu par le gamin. Faut dire que la dame traîne déjà des casseroles grosses comme une marmite, dont une sombre histoire de mort subite du nourrisson qui pend encore au nez du tribunal…
Ancienne assistante maternelle déjà virée de la liste des nounous sûres en 2018, elle aurait plaidé l’amnésie sélective à l’audience. Genre “j’me rends pas compte”. Ben voyons. Heureusement, ce papa n’a pas lâché l’affaire. Moralité : parfois, c’est pas sous le lit qu’on trouve les monstres, c’est au bout du babyphone.
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