La junk food, c’est un peu comme une ex toxique : on sait que c’est mauvais pour nous, mais on y retourne toujours. Parce que soyons honnêtes, qui a déjà rêvé d’une salade verte après une journée de merde ? Personne. Ce qu’il nous faut, c’est du gras, du sel, du sucre, de la culpabilité et un soda pour faire passer le tout.
Un Voyage Culinaire en Enfer
La junk food, c’est une expérience sensorielle totale :
- Visuelle : des couleurs tellement chimiques qu’on pourrait croire à une expérience de laboratoire.
- Olfactive : une odeur de friture qui s’infiltre dans tes vêtements pour trois jours minimum.
- Gustative : une explosion de saveurs artificielles, calibrées pour rendre ton cerveau accro plus vite qu’une secte new-age.
Et ne parlons pas des portions. Un “petit menu” dans un fast-food américain ? C’est une baignoire de Coca avec un bol de frites digne d’une apocalypse calorique.
Le Marketing du Mensonge
Le vrai génie de la junk food, ce n’est pas la recette, c’est le marketing.
- Les pubs qui vendent du rêve : un burger juteux, parfaitement monté, qui ressemble à une œuvre d’art… jusqu’à ce que tu le reçoives, écrasé comme si un camion lui était passé dessus.
- Les faux arguments santé : “Nos nuggets sont faits avec du vrai poulet” (ah bon ? Avant, c’était du polystyrène ?).
- Le piège des éditions limitées : “LE BURGER QUE TU NE GOÛTERAS PLUS JAMAIS” (alors tu fonces, avant de regretter chaque bouchée).
Le Cycle de la Déchéance
Manger de la junk food suit toujours le même scénario :
- L’excitation : “Aujourd’hui, je me fais PLAISIR.”
- La première bouchée : un shot de dopamine directement injecté dans ton âme.
- L’engloutissement sans conscience : tu te rends compte que tu n’as même pas savouré, juste inhalé.
- Le point de non-retour : trop tard, tu ressens déjà cette sensation de gras qui tapisse ton âme.
- Le regret : “Pourquoi j’ai fait ça ?” (mais tu sais déjà que tu recommenceras).
Le Grand Mythe du “Fast Food Maison”
Certains naïfs pensent pouvoir reproduire la magie du fast-food à la maison. Spoiler : c’est faux.
- Tes frites maison ne seront jamais aussi croustillantes que celles saturées en huile industrielle.
- Ton burger aura toujours un pain trop sec et une sauce qui fout le camp.
- Ton tacos maison ne ressemblera jamais à autre chose qu’à une crêpe mal roulée pleine de tristesse.
Le Verdict ?
La junk food, c’est l’amour vache. On sait qu’elle nous bousille, qu’elle nous trahit, qu’elle nous fait grossir et culpabiliser… mais putain, ce que c’est bon.
Alors, on reprend des frites ou on fait semblant d’avoir une volonté ?
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