À 81 ans, notre bon vieux Joe est devenu une source inépuisable de moments mémorables… pour ne pas dire autre chose. Dernier exemple : il monte sur scène pour un discours. Les caméras sont prêtes, les journalistes sont suspendus à ses lèvres, et soudain, il commence à raconter une histoire sur son enfance en Pennsylvanie… ou était-ce au Delaware ? Peu importe, il finit par oublier le point de son discours, et nous voilà tous en train de nous demander si on regarde CNN ou une rediffusion des meilleurs moments de “Saturday Night Live”
Les lapsus de Joe sont devenus légendaires. L’autre jour, il a confondu sa femme avec sa sœur. Une erreur innocente, certes, mais qui nous laisse tous perplexes. Il faut dire que dans la famille Biden, on ne s’ennuie jamais ! Et puis il y a ces moments où il s’égare totalement. Lors d’une conférence de presse récente, il a commencé à parler des relations internationales… pour finalement dériver vers une anecdote sur son chien Champ et un écureuil particulièrement rusé. On peut dire que Joe sait tenir son public en haleine.
Que dit la visite médicale annuelle ?
Les sondages montrent que de plus en plus d’Américains se demandent si Joe est vraiment apte à servir un second mandat. Et qui peut les blâmer ? Même ses téléprompteurs semblent parfois perplexes. Pourtant, ses partisans insistent : “Il est en pleine forme !” Peut-être, mais à ce stade, on pourrait aussi dire que regarder Joe en action, c’est comme jouer à une loterie où chaque numéro est une surprise.
Ses adversaires politiques ne se privent pas de souligner ses moments de confusion, et même certains démocrates commencent à penser qu’il serait peut-être temps de trouver un candidat un peu plus… comment dire… éveillé ? Après tout, la Maison Blanche n’est pas une maison de retraite, même si parfois, avec Joe, on pourrait s’y tromper.

Alors, Joe, si tu lis ceci (ou si quelqu’un te le lit), sache que nous t’aimons bien, tu égaies nos journées à chacune de tes apparitions. Mais peut-être qu’il est temps de laisser la place à quelqu’un d’autre ? Quelqu’un qui se souvient où il a rangé ses clés et qui n’appellera pas le Premier ministre britannique “le gars de l’autre côté de la mare“. En tout cas, merci pour les rires, Joe. Parce qu’au fond, rire, c’est déjà une belle manière de diriger un pays, non ?
Le squatteur de la Maison Blanche ne veut pas partir
Hier, c’était la fête nationale aux Youessay. En ce jour, Joe Biden, président des États-Unis et humoriste en herbe, a tenu à rappeler à tout le monde qu’il n’avait “pas l’intention de s’en aller“. Malgré les inquiétudes sur sa santé et les moments mémorables de ses discours improvisés, notre cher Joe a prouvé qu’il était encore prêt à en découdre… même si cela signifie causer quelques bouchons sur les autoroutes.
C’était une journée ensoleillée à la Maison Blanche, parfaite pour un barbecue patriotique avec des militaires et leurs familles. Biden, armé de son meilleur sourire et d’un prompteur, a commencé par un court discours bien rodé. Mais, fidèle à lui-même, il n’a pas pu s’empêcher de saisir un micro pour un peu d’improvisation. “Vous pouvez compter sur moi. Je n’ai pas l’intention de m’en aller,” a-t-il assuré, suscitant un mélange de soulagement et de perplexité parmi les convives. C’est pareil dans les karaokés. T’en as toujours un ou une qui s’empare du micro et ne veut plus le lâcher au plus grand dam du public dépité.

Puis, en bon conteur, Joe nous a gratifiés d’une anecdote sur les embouteillages. Oui, parce que quand Joe Biden parle de trafic, il ne s’agit pas de simples embouteillages, mais de véritables chapitres de la vie américaine. “Quand j’étais sénateur, il y avait toujours des bouchons sur les autoroutes. Il n’y a plus de bouchons,” a-t-il déclaré avec l’assurance de quelqu’un qui vient de découvrir le remède miracle contre les embouteillages. Le public, composé en partie de gens coincés dans le trafic quelques heures plus tôt à cause du convoi présidentiel, a éclaté de rire.
Mais Joe ne s’est pas arrêté là. “Donc pour que j’arrête de parler, ils me disent ‘Les routes sont fermées, monsieur le président,’” a-t-il poursuivi, prouvant une fois de plus que même les embouteillages peuvent être une occasion de plaisanter. C’est vrai, quoi de plus amusant que de bloquer des milliers de voitures juste pour pouvoir raconter une blague à l’arrivée ?
Et ce n’était pas la première fois que Joe se lançait dans des plaisanteries sur ses déplacements présidentiels. Les Américains commencent à s’habituer à l’idée que chaque fois que Biden sort, ils doivent prévoir un plan B pour leurs trajets. Il serait peut-être sage aussi de prévoir un plan B pour mettre un candidat devant Trump !
Ainsi, malgré les inquiétudes sur sa santé et ses lapsus légendaires, Joe Biden continue de faire rire, surtout dans le camp adverse, et de bloquer les routes. Et n’est-ce pas là le signe d’un président dévoué ? Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : Joe n’a pas l’intention de s’en aller. Alors, chers Américains, préparez-vous à plus de bouchons et de rires, car avec Joe, The Show must go on!
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