Mes p’tits loups, aujourd’hui ça va décoiffer, on cause du gombo intérieur : la santé mentale des Français post Covid. Ça fait déjà cinq piges qu’le virus est passé par là, et nos cerveaux, eux, galèrent encore, comme un tracteur en panne dans les champs
1. Un mal être en béton armé
Depuis le premier confinement, les études ont dégainé la tronche : anxiété, déprime, stress, c’tait open bar dans les têtes (troubles-alimentaires.fr). Santé publique France nous dit : « la santé mentale, c’est plus une histoire de 1 sur 5 », le Siège Social de la Dépression est devenu la Monster : on en sort plus (santepubliquefrance.fr). Les peurs de rater un achat en drive, l’angoisse du jackpot du PQ : un tsunami neuro dans les clopes du cerveau !
2. Les jeunots paumés dans le brain
La « génération Covid », ceux qui ont vécu à distance, ont du mal à se rebrancher : oraux, interactions, kiff social : c’était une appli plantée. Et ça pollue : 41 % des étudiants tartinent la déprime, contre 26 % avant la pandémie (lemonde.fr). Jeunes, on vous a largués avec un sac à dos invisible rempli d’insolation psychique ! L’isolement est devenu leur coloc’, 62 % déclarent se sentir seuls comme des cailloux (lemonde.fr). Non mais, une vraie épidémie de solitude, pire que de fumer 15 clopes par jour (lemonde.fr).
3. Le burn-out à la chaîne au taf’
Côté taf’, c’est pas jojo non plus : burn-out a doublé depuis 2020, et 44 % des salariés sont en détresse (lemonde.fr). Les arrêts psy explosent, plus que les molaires ou la gastro . Ça coûte une blinde : 23 milliards d’euros attendus en 2027 si on continue à négliger ce trou noir mental (lemonde.fr). Même les chefs d’entreprise s’arrachent les cheveux (façon parabole psy) : motivation en berne, ambiance version catacombe .

4. On ouvre les paras cérébraux : la parole se libère, mais faut des psys
Là où ça bouge, c’est dans la libération de la parole : plus personne flippe de dire « j’suis mal », les jeunes parlent même de pensées suicidaires, direct (lemonde.fr). Les juniors s’entraînent à repérer leur pote en grisaille mentale, style super-héros des universités . C’est bien beau, mais encore faut-il avoir des psys : et eux, ils sont en rade . Résultat : urgences psychiatriques saturées, services débordés (+77 % entre 2019 et 2023 !). Les urgences, désormais, elles prennent les gens en souffrance psychique, par manque de structures dédiées.
5. Le mental coûte cher, mais faut miser gros sur la prévention
Hé ouais, tout ça, ça plombe l’économie : absentéisme, bras biceps au chômage, productivité en rade. Comme le rappelait ActuÉco, « le déclin de la santé mentale impacte nos boîtes, nos caisses et le pays » (lemonde.fr). Le Doc Osasuna vous le dit : investir dans la prévention, rembourser les psys, renforcer l’offre, c’est pas du luxe, c’est du sérieux !
Des astuces rigolotes pour se muscler le mental
- Bouge ton popotin : ça stimule la boule cérébrale ;
- Parle, refouraille ta souffrance, ça gicle la pression ;
- Connecte-toi IRL, pas que sur Insta : relation, relation, relation (c’est vital) ;
- Si t’entends un pote en galère, joue l’ambulance psy, sois attentif ;
- Et surtout, consulte : c’est pas tabou, c’est normal, c’est humain.
Ensemble, on a survécu à 3 confinements, à la panique du gel hydro et au désintérêt pour le mental : alors on a tous pris quelques éclats dans la cervelle, mais on n’est pas fous. On peut s’en sortir, les amis.
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