Bayonne : le gendarme raccroche l’uniforme pour se muer en shérif municipal

C’est ce qu’on appelle changer de crémerie sans quitter le quartier. Le commandant Guillaume Favard, patron des képis de Bayonne depuis 2021, troque la tenue réglementaire pour celle – tout aussi bleu marine – de la police municipale. Fini les envolées vers Issy-les-Moulineaux et la direction nationale : le monsieur a décidé de poser ses valises au pays des piments et des festayres. Coup de foudre pour la douceur de vivre basquaise, paraît-il. Et aussi, sans doute, pour le plancha-pelote-apéro du dimanche midi.

Le voilà donc à la tête de 45 agents municipaux, avec pour mission de « mettre en couvre » les politiques de sécurité du quotidien. Traduction : du bleu en maraude jour et nuit, de la gare à Balichon en passant par les coins qui grincent. Le tout sous l’œil du patron des sécurités de la mairie, Luc Tarayre, ex-commissaire divisionnaire, aussi connu pour son CV long comme un procès-verbal. Pas question de jouer les touristes : le Favard version municipale vise la proximité, le terrain, et un paquet de baskets usées en patrouille.

Pendant ses années à la tête de la compagnie de gendarmerie, Favard a géré les manifs, les blocages et les colères agricoles sans trop perdre les pédales. Avec des taux de résolution d’affaires qui feraient rougir une orange : 90% pour les atteintes aux personnes, 40% pour les vols. Bref, un bilan qui brille, même sans gyrophares. Il passe le relais au capitaine Sébastien Dato, fraîchement rapatrié d’Espagne, où il formait les futurs justiciers de la Guardia Civil. Un passage de témoin qui se fait à la cool, mais avec fermeté : à Bayonne, les forces de l’ordre changent de casquette, mais gardent le même flair.C’est ce qu’on appelle changer de crémerie sans quitter le quartier. Le commandant Guillaume Favard, patron des képis de Bayonne depuis 2021, troque la tenue réglementaire pour celle – tout aussi bleu marine – de la police municipale. Fini les envolées vers Issy-les-Moulineaux et la direction nationale : le monsieur a décidé de poser ses valises au pays des piments et des festayres. Coup de foudre pour la douceur de vivre basquaise, paraît-il. Et aussi, sans doute, pour le plancha-pelote-apéro du dimanche midi.

Le voilà donc à la tête de 45 agents municipaux, avec pour mission de « mettre en couvre » les politiques de sécurité du quotidien. Traduction : du bleu en maraude jour et nuit, de la gare à Balichon en passant par les coins qui grincent. Le tout sous l’œil du patron des sécurités de la mairie, Luc Tarayre, ex-commissaire divisionnaire, aussi connu pour son CV long comme un procès-verbal. Pas question de jouer les touristes : le Favard version municipale vise la proximité, le terrain, et un paquet de baskets usées en patrouille.

Pendant ses années à la tête de la compagnie de gendarmerie, Favard a géré les manifs, les blocages et les colères agricoles sans trop perdre les pédales. Avec des taux de résolution d’affaires qui feraient rougir une orange : 90% pour les atteintes aux personnes, 40% pour les vols. Bref, un bilan qui brille, même sans gyrophares. Il passe le relais au capitaine Sébastien Dato, fraîchement rapatrié d’Espagne, où il formait les futurs justiciers de la Guardia Civil. Un passage de témoin qui se fait à la cool, mais avec fermeté : à Bayonne, les forces de l’ordre changent de casquette, mais gardent le même flair.


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