Ambiance piqûre party sur la plage de Marbella à Biarritz, où les physalies – alias les “caravelles portugaises” – ont débarqué sans prévenir, comme un mauvais plan Tinder un lendemain de cuite. Résultat : baignade interdite, drapeau rouge hissé, et touristes priés de garder leurs palmes au sec. Faut dire que ces fausses méduses, aussi jolies qu’un bonbon Haribo flottant, planquent des filaments urticants qui font l’effet d’un coup de jus dans une prise mal isolée. Ça claque, ça pique, et ça laisse des souvenirs sur la peau façon barbecue mal géré.
Pour ceux qui se font choper par une de ces bestioles gélatineuses, la Communauté d’agglomération Pays Basque a sorti la notice de survie : pas question de frotter comme un bourrin, faut rincer à l’eau de mer et dégainer la mousse à raser – pas pour se refaire une beauté, non, mais pour calmer la brûlure. Ensuite, on décolle les tentacules comme on gratte un ticket de loto perdant : avec une carte bancaire ou un bout de carton. Ambiance spa low-cost avec option urticaire en prime.
Le CHU de Bordeaux rappelle que ça peut faire bien mal à la couenne, entre lésions brûlantes et gratouilles pas très catholiques. Bref, si t’avais prévu une session bronzette tranquille, faudra repasser. Les physalies, elles, s’en tamponnent le maillot. Elles voguent au gré des vagues, tranquilles, pendant que nous on joue les galériens avec nos serviettes et nos tubes de Biafine. Moralité : à Marbella, on surveille plus la mer que les ex sur Insta.
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