C’est un rituel aussi immuable que le passage à l’heure d’été : chaque année, à l’approche des beaux jours, la planète entière semble découvrir avec effroi qu’elle a un corps.
Soudain, c’est la panique. On se regarde dans le miroir avec l’air dramatique d’un personnage de tragédie grecque. “Mon Dieu… mais qui a laissé faire ça ?”
Spoiler : c’est toi.
La course contre la montre
Bien sûr, le régime aurait pu commencer en janvier, après la raclette, la galette, la tartiflette et les “juste un petit carré de chocolat”.
Mais non. On attend le mois de mai, histoire de bien se mettre dans l’urgence.
Et là, c’est la catastrophe.
- Adieu le sucre, bonjour la salade sans sauce.
- On avale des graines en prétendant que ça a du goût.
- On boit des smoothies verts en faisant semblant d’aimer ça.
- On télécharge des applications pour compter les calories, comme si on allait tenir plus de 48 heures.
Le mythe du “Summer Body”
Les magazines nous vendent des titres hilarants :
- “Perdez 10 kilos en 3 semaines sans effort !” (Oui, en vous coupant une jambe).
- “La méthode révolutionnaire pour un ventre plat !” (C’est arrêter de respirer).
La réalité, c’est que le “corps de l’été”, c’est le même que celui de l’hiver, mais en sueur.
Le Verdict : mangeons et vivons !
Au final, en juillet, tu remets ton maillot, et surprise : les autres ont aussi des bourrelets, de la cellulite et des complexes.
Et tu réalises que les seules personnes qui jugent ton corps… c’est toi et les magazines féminins.
Alors pourquoi se priver de barbecues, d’apéros et de glaces ?
L’été, c’est fait pour profiter.
Et puis bon… il reste toujours le paréo.
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