Solaria, le grand manitou des énergies renouvelables, vient d’obtenir le feu vert de Red Eléctrica de España pour raccorder 225 MW au réseau. L’objectif ? Alimenter un centre de traitement de données (DPC) dans la région. Avec une telle puissance, ça va turbiner sévère du côté des serveurs. Et le plus beau dans l’histoire, c’est que tout est prêt : infrastructures en place, accès garanti au réseau et une mise en service plus rapide que le TGV Atlantique. Bref, Solaria ne fait pas que briller au soleil, elle alimente aussi les cerveaux numériques du futur
Les Basques ont la réputation d’avoir le sang chaud, mais cette fois, c’est leur réseau électrique qui monte en température. Grâce à son arsenal énergétique – lignes haute tension, sous-stations et centrales photovoltaïques – Solaria met en place une solution clé en main pour alimenter des data centers en un temps record.
Normalement, raccorder un DPC, c’est un marathon administratif : autorisations en pagaille, délais à rallonge… Bref, de quoi s’arracher les cheveux plus vite qu’une éolienne en pleine tempête. Mais Solaria coupe court aux lenteurs bureaucratiques et zappe des années de paperasse grâce à son infrastructure déjà en place.
Autre bonne nouvelle : ça va faire du bien au portefeuille des data centers ! Moins de frais de raccordement, une électricité plus abordable, et une empreinte carbone qui fond plus vite qu’un glaçon sur la Grande plage de Biarritz en août.
Solaria : une puissance solaire qui envoie du pâté
Avec 3 GW en exploitation et en construction, 1,1 GW déjà validé et un objectif de 14,3 GW en 2028, autant dire que Solaria ne joue pas dans la cour des petits. L’entreprise mise sur un mix énergétique béton : solaire, éolien et batteries, histoire de ne pas mettre tous ses électrons dans le même panneau.
Mais ce n’est pas tout : près de 1 000 km de réseaux électriques, 97 sous-stations et 70 centrales photovoltaïques viennent compléter le tableau. Un monstre de l’énergie verte qui a de quoi faire trembler même le plus puissant des transformateurs.
Ajoutez à ça Generia, sa filiale foncière, qui gère des terrains stratégiquement placés près des infrastructures énergétiques, et vous obtenez un cocktail parfait pour développer des data centers à la vitesse de la lumière (ou presque).
Dans un monde où la donnée est le nouveau pétrole, disposer d’infrastructures énergétiques performantes et indépendantes devient un enjeu stratégique majeur. Pas question de voir nos précieuses informations dépendre d’une électricité au rabais, venue d’ailleurs et sujette aux aléas géopolitiques.
Avec ce projet, Solaria permet au Pays Basque de prendre le contrôle de son alimentation numérique, tout en réduisant sa dépendance aux énergies fossiles. En d’autres termes, on assure les connexions sans cramer la planète.
Une ambition verte qui ne date pas d’hier
Depuis 2002, Solaria mise tout sur le solaire photovoltaïque. Pas de greenwashing ici : l’entreprise fabrique ses propres panneaux, développe ses propres centrales et gère elle-même son réseau. Bref, un vrai couteau suisse (ou plutôt un vrai txapeldun) de l’énergie verte.
Objectif ? 18 GW d’énergie sans émission d’ici 2030, dans les clous de l’Agenda 2030 et des Objectifs de Développement Durable.
Et parce que Solaria ne fait pas les choses à moitié, elle a aussi misé sur la bourse espagnole : entrée en 2007, puis passage au prestigieux IBEX 35 en 2020. Un parcours qui brille autant que ses panneaux solaires sous le soleil ibérique.
Solaria ne se contente pas d’être un mastodonte des énergies renouvelables. Elle prouve que la transition énergétique peut rimer avec rapidité, efficacité et rentabilité.
En misant sur un déploiement express et un coût réduit pour ses clients, l’entreprise démontre que l’énergie propre est non seulement viable, mais aussi économiquement avantageuse.
Et puis, on ne v a pas se mentir, voir des data centers fonctionner grâce au soleil plutôt qu’au charbon ou au nucléaire, ça fait plaisir, non ?
Le Pays Basque, nouvelle Silicon Valley verte ?
Avec une énergie propre, fiable et bon marché, le Pays Basque a toutes les cartes en main pour devenir un hub numérique de premier plan. Imaginez un futur où les géants de la tech viennent poser leurs serveurs ici, attirés par une électricité verte et une stabilité énergétique à toute épreuve.
Cerise sur le gâteau : pas besoin de clim’ énergivore pour refroidir les serveurs. Entre les vents atlantiques et les montagnes, le Pays Basque offre un climat naturel parfait pour éviter la surchauffe.
Bref, le futur numérique basque s’annonce électrisant, et grâce à Solaria, il sera surtout 100 % renouvelable. De quoi donner un sérieux coup de boost à la transition énergétique, tout en plaçant la région sur la carte des grandes puissances technologiques.
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