Qui ne connaît pas Ryanair ? … Cette compagnie aérienne qui te permet de traverser l’Europe pour le prix d’un sandwich triangle, mais te le fait regretter dès l’embarquement.
Déjà, ton billet à 9,99€ ? Une illusion. Une porte d’entrée vers l’enfer administratif. Tu veux une valise ? +35€. Un siège côté hublot ? +12€. Un bagage cabine ? +22€. Respirer pendant le vol ? Pour l’instant c’est encore offert, mais ça ne saurait tarder. T’as cligné des yeux ? 5€.
Le siège ? Une planche à pain en plastique dur avec une poche trop petite pour y glisser un mouchoir, mais suffisante pour y coincer ta dignité. L’espace pour les jambes ? Un concept purement théorique. Même un playmobil aurait des crampes.
Le personnel ? Aimable comme une alerte de surpoids bagage. “Vous devez payer un supplément, monsieur, votre sac a un aspect ‘suspectement’ rempli de vécu.” Tu fais semblant de sourire, mais au fond, tu sais que tu vas devoir enfiler trois couches de vêtements pour éviter de payer 60 balles.
Et une fois à bord, si t’as le malheur d’avoir soif, c’est 3€ la bouteille d’eau tiède. Le rêve européen, version déshydratée.
Le Verdict : Ryanair, c’est comme un fast-food de l’aviation : tu crois faire une bonne affaire, tu finis fauché, frustré et constipé. Mais t’as volé, bon sang. Et ça, ça n’a pas de prix. Sauf chez eux.
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