Il y a des gens pour qui exister, c’est écraser les autres. Et pas en privé, non. En public, devant témoins, pour bien marquer leur supériorité.
- Tu mets de la confiture de fraise sur ta tartine ? “Ah… classique… t’aimes bien les trucs un peu beauf, toi.”
- Tu bois un café en capsule ? “Ah, t’as pas encore découvert le vrai espresso italien, dommage.”
- Tu mets du ketchup ? “Ah ouais, c’est vrai que la gastronomie, c’est pas donné à tout le monde.”
En gros, peu importe ce que tu fais, ce que tu aimes, ce que tu portes, ce que tu écoutes… il y a TOUJOURS un détail à mépriser.
Le snobisme : Un besoin pathologique de se sentir au-dessus
Ces gens-là, ils ne peuvent pas juste vivre et laisser vivre.
- Tu as une voiture classique ? Ils roulent en électrique et te prennent pour un criminel climatique.
- Tu lis un best-seller ? Ils te regardent avec pitié : “Moi, je lis des auteurs moins… commerciaux.”
- Tu écoutes de la musique populaire ? “C’est tellement mainstream… Moi, je préfère des trucs plus recherchés.”
Toujours ce ton faussement bienveillant, ce petit sourire condescendant, ce besoin viscéral de montrer qu’ils ont “meilleur goût” que toi.
Un complexe caché sous une prétendue élégance
Le plus drôle ? Ce sont souvent les plus insécurisés.
- Ils ont besoin d’un public pour briller.
- Ils ne supportent pas que quelqu’un soit juste bien dans ses choix.
- Ils se nourrissent du malaise qu’ils créent.
Parce qu’au fond, sans toi, sans tes soi-disant “goûts douteux”, ils n’existent pas.
Le Verdict ?
La prochaine fois qu’un snob tente de te rabaisser avec son air supérieur, ne te justifie pas.
Regarde-le droit dans les yeux et dis : “Ah, ça doit être fatigant d’être aussi parfait. T’en fais pas, on t’aime quand même.”
Et étale une énorme cuillère de confiture de fraise devant lui. Histoire de bien l’achever.
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