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Les producteurs basques cartonnent au Salon de l’Agriculture : une moisson de médailles et de bons produits

Si la gastronomie était une compétition sportive, les Basques auraient déjà décroché leur billet pour les JO ! Avec 44 médailles récoltées au Concours général agricole du Salon international de l’Agriculture à Paris, nos producteurs ont fait chauffer la boîte à breloques. Charcuterie, fromages, piment d’Espelette, bières, vins, foie gras… Tout y est passé, et pas juste pour faire de la figuration : 16 médailles d’or sont tombées dans l’escarcelle des champions du terroir.

La charcuterie envoie du pâté

Côté cochonaille, les jambons de Bayonne et du Kintoa ont fait un malheur, pendant que les saucissons et pâtés s’invitaient au buffet des vainqueurs. La palme du plus beau coup de couteau revient à la SARL Elizaldia à Gamarthe, qui repart avec deux ors et une ribambelle de médailles en argent et bronze. Résultat : les Basques ne sont pas près d’arrêter de saucissonner à l’apéro.

Fromages : une razzia en bonne et due forme

Chez les affineurs, Agour, Onetik, Etxaldia et les Fromageries des Chaumes ont fait péter la meule avec des podiums en pagaille. L’Ossau-Iraty, fierté locale, a tenu son rang, pendant que les tommes et fromages de brebis prenaient aussi leur part du gâteau… enfin, du plateau !

Piment d’Espelette : chaud devant !

Du côté des épices, le piment d’Espelette a encore mis le feu au classement, décrochant quatre médailles d’or. Autant dire que la gastronomie basque continue de mettre la sauce dans les assiettes.

À boire et à savourer

Que serait un bon repas sans un petit coup de rouge (ou de blanc) ? Les vins d’Irouléguy ont tenu la barre, pendant que les bières locales d’Hasparren et Bayonne faisaient mousser les récompenses. Même les jus de fruits ont eu leur moment de gloire, avec un cocktail pomme-poire qui a su presser le jury dans le bon sens.

Bref, cette année encore, les producteurs du Pays basque ont fait honneur à leur réputation. Et vu la récolte de médailles, une chose est sûre : en 2025, il faudra encore se lever de bonne heure pour leur piquer la vedette.

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