Comme ils sont au top de l’éducation, ces parents modernes, apôtres de la liberté absolue, qui laissent leurs enfants tout faire sous prétexte qu’il faut “les laisser s’exprimer”.
- Petit Hugo hurle dans le restaurant ? “Il exprime sa frustration.”
- Lilou jette ses frites au sol ? “Elle explore la gravité.”
- Noa tape un autre enfant ? “Il exprime son besoin de leadership.”
Traduction : on est en train d’élever une armée de petits tyrans qui vont nous pourrir la vie pendant 20 ans.
Les enfants sauvages, nouvelle mode parentale
Autrefois, un enfant qui hurlait dans un supermarché, on le recadrait. Aujourd’hui ?
- Il renverse un rayon entier de biscuits ? “C’est un enfant, on ne peut pas le brimer.”
- Il pique ton téléphone sur la table ? “C’est normal, il est curieux.”
- Il te balance un coup de pied en passant ? “Il est dans sa phase d’expérimentation corporelle.”
Bref, tout est une excuse pour ne pas éduquer.
L’autorité, cet ancien concept dépassé
Oubliez le temps où un regard d’un parent suffisait à calmer un enfant. Aujourd’hui, c’est l’enfant qui dicte la loi.
- Tu oses dire que leur gamin est insupportable ? C’est toi qui es “intolérant”.
- Tu veux qu’il arrête de crier en public ? “On n’éteint pas les émotions d’un enfant.”
- Tu proposes qu’il dise bonjour ? “Je préfère qu’il choisisse s’il a envie.”
Et quand, miracle, ils essaient de le reprendre, c’est toujours en mode délicatesse extrême :
- “Théo, mon chéri, maman aimerait bien que tu ne frappes pas ce monsieur, si tu en as envie, bien sûr.”
Bien sûr que Théo n’a pas envie. Théo est déjà un petit despote en puissance.
Le Verdict ?
D’ici dix ans, ces enfants rois vont envahir les entreprises, les rues, et même les dîners de famille avec leur égo surdimensionné et leur mépris total des règles.
Et leurs parents ? Ils se demanderont pourquoi ils n’ont plus d’amis.