Autrefois, la vie était simple : il y avait les hommes, les femmes, et un pull moche qu’on se prêtait entre frères et sœurs. Aujourd’hui ? Bienvenue dans l’ère du genre à la carte !
Non, sérieux, on a raté un épisode ou quoi ? Hier encore, on était en train de se battre pour choisir entre “homme” et “femme” sur un formulaire, et aujourd’hui, c’est carrément un menu dégustation !
“Bonjour, je suis… euh, attendez, je vérifie.”
Soyons honnêtes, même les experts en biologie commencent à paniquer. On a dépassé le stade du simple “garçon” et “fille” pour arriver dans une dimension parallèle où chaque matin, on peut redéfinir son existence.
- “Aujourd’hui, je suis genderfluid.”
- “Moi, je suis demi-boy-vapeur-astral, mais que les mardis.”
- “Et toi ?”
- “Écoute, moi, j’ai juste envie de boire mon café sans qu’on me demande de choisir mon pronom.”
Un dictionnaire entier de termes innovants
Sérieusement, qui invente ces noms ? Parce qu’à ce rythme, bientôt, on aura :
- Le “gazoil-gender” : fluide mais inflammable.
- Le “quantum-gender” : il existe et n’existe pas en même temps.
- Le “weekend-gender” : différent selon les jours fériés et le cycle lunaire.
Franchement, c’est fascinant.
Mais le problème, c’est que…
Chacun fait ce qu’il veut, hein, aucun souci.
Le vrai problème, c’est qu’on veut nous obliger à suivre le délire.
- Ne pas se tromper de pronom sous peine de déclencher une guerre civile.
- Apprendre 52 nouvelles identités de genre sous peine d’être traité de réac.
- Remplir des papiers administratifs où “Homme/Femme” devient un champ à rallonge (et si tu coches pas la bonne case, c’est une insulte ?).
Le Verdict ?
Les gens font bien ce qu’ils veulent, franchement, ça ne nous regarde pas.
Mais à une seule condition :
Ne venez pas nous engueuler parce qu’on ne connaît pas votre genre du jour.