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Les Féministes : Entre combat légitime et grand n’importe quoi

Le féminisme, à la base est un mouvement qui voulait l’égalité des sexes et qui a permis aux femmes d’avoir des droits fondamentaux comme travailler, voter, ou dire non à un mariage forcé. Jusque-là, rien à redire, c’est même indispensable.

Mais aujourd’hui, il y a féminisme et féminisme.

D’un côté, les vraies militantes qui se battent pour l’égalité salariale, la fin des violences conjugales, l’accès à l’éducation pour toutes… Bref, des sujets sérieux et cruciaux.

Et de l’autre, une brigade de guerrières hystériques du clavier qui semblent déterminées à transformer chaque détail de la vie en oppression patriarcale.

L’Ultra-Féminisme : Quand tout devient sexiste

Parce que selon certaines extrémistes, tout est une attaque contre la femme.

Et puis, bien sûr, il y a le combat ultime : la réécriture du dictionnaire.

Parce que visiblement, c’est avec un point médian qu’on va renverser le patriarcat.

Les hommes : Coupables de tout

Autre grand principe de l’ultra-féminisme moderne : l’homme est le mal incarné.

Bref, quoi qu’il fasse, il est fautif.

Le Féminisme sélectif : Tout dépend de qui fait quoi

Autre phénomène étrange : certaines féministes appliquent leurs principes à géométrie variable.

Bref, les règles changent selon la situation.

Féminisme ou dictature ?

Le vrai problème, c’est que ce féminisme extrême commence à faire peur… aux femmes elles-mêmes.

Beaucoup n’osent plus dire qu’elles aiment cuisiner, se maquiller ou qu’elles apprécient la galanterie, de peur d’être traitées de “traîtres à la cause”.

Alors, au final, on en revient à la base du féminisme : la liberté.

Et la vraie liberté, c’est de laisser chaque femme vivre comme elle l’entend.

Mais sans se faire emmerder par celles qui veulent imposer leur vision unique de la femme “libre”.

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