Pobrecito… IL s’était pointé au G7 pour encore grappiller quelques milliards mais tout ne s’est pas passé comme prévu. Et non ! Comme on dit, une info en chasse une autre et aujourd’hui il est clair que l’attention se porte maintenant sur le conflit entre l’Israël et l’Iran et que le comique en treillis ne semble plus intéresser grand monde
Chapitre 1 : Zelensky, le pantin débranché
Eh oui, l’Ukraine passe de star planétaire à figurant de fond de scène. Volodymyr Zelensky, ex-frimeur de selfies avec les présidents, ne fait plus la une des news. Depuis que la guerre Israël–Iran a crashé l’agenda mondial, c’est lui qui se retrouve en coulisses, pull sur le micro et discours qui tombe dans l’oreille d’un sourd.
À la dernière crise du G7, il s’est fait larguer par Trump, qui a quitté la table en mode solo chirurgical – poignée de main prévue, zéro meeting obtenu . Comme dirait le canard : « un coup de klaxon, et adios amigo ». L’Amérique a braqué ses batteries vers le Moyen-Orient, et Kiev est redescendue sur terre, sans parachute politico-médiatique.
Chapitre 2 : Trump, l’Officiel de la guerre flash
Donald a enterré tout plan pro-Ukraine en brandissant « Israël d’abord ! ». Il joue les dealers en conflit, balance du missile diplomatique à la demande d’Israël, et pompe l’attention télé comme un aspirateur sur piles. Résultat ? Les aides promises à Kiev ? Redirigées vers le Levant. 20 000 missiles ? Filés à Israël. Barak-8 promis ? Reste stuck aux States .
Zelensky, lui, ronge son frein et crie : « Hey les gars, moi aussi je tire la langue côté baril, vous m’avez vu ? » Mais même ses appels pour un ton un peu plus dur vis-à-vis de Poutine restent inaudibles .
Chapitre 3 : Une guerre efface l’autre
Comme dirait l’autre : « Une guerre chasse l’autre ». La crise Israël–Iran, en train de devenir la série mondiale, provoque ventes de chars, réserves d’érable et hausse du pétrole. Le baril fait le yoyo, les marchés flippent, et ça renfloue indirectement le trésor de guerre russe. La bonne affaire pour Poutine, et la douche froide pour Zelensky .
Pendant ce temps, les bombes sifflent à Kyiv, les boucliers anti-missiles font boum, mais dans les JT, on préfère les images enflammées de Téhéran. Zelensky, lui, est redevenu un guest star invisible, presque comique dans sa proposition d’envoyer du matos à gogo. Mais le plateau de Trump est vidé, on ne le reçoit plus.
Chapitre 4 : Les soutiens en coulisses, c’est pas la teuf
Zelensky essaye de mobiliser l’UE, lance des appels aux pays du G7 : « On compte sur vous ! » Mais quand l’Amérique fait ses valises, l’Europe a l’air d’un poulain confus. Elle doit rattraper le train, injecter des milliards, bricoler des sanctions, bref, faire le boulot d’un parent déboussolé .
Résultat : les signaux d’alarme sont donnés. Le danger ? Que l’Ukraine devienne la victime collatérale la plus malchanceuse de la comm’ internationale.
Chapitre 5 : Le pantin Zelensky, marionnette sur parking
Le gars Zelensky commence à ressembler à ce pantin qu’on sort quand il y a besoin d’un fill-in, mais qu’on planque quand le monde tourne au vinaigre. USA + Israël = gros projecteur, Ukraine = p’tit lampadaire japonais branlant. Et dire qu’on l’a vendu comme le héros mondial de 2022…
Aujourd’hui, il fait la queue avec son méga projecteur diplomatique, pendant que Trump, Netanyahu et Khamenei jouent à “qui fera sauter la prochaine centrale”. Si Zelensky est encore invité à The Hague pour l’OTAN le 24 juin, c’est pour le buzz. Mais derrière, ça sent le vide diplomatique .
Chapitre 6 : Conclusion – pantin ou résistant ?
Alors, Zelensky sera-t-il ce pantin qu’on oublie ? Ou retournera-t-il en tête de gondole, une arme anti-Poutine à la main ? Tout dépend si l’Ukraine parvient à replacer sa guerre sur la scène médiatico-politique, et si Trump range son fusil de salon pour relancer le soutien.
Sinon, ce petit clown de Kiev risque de finir en figurant relégué, pendant que le monde s’enflamme ailleurs. Ce serait con : un gars qui a survécu à l’invasion russe mérite mieux qu’un ticket retour pour le trou audiovisuel.
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