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Le gâteau basque, la cerise sur le béret

Fini les secrets de grand-mère planqués sous le torchon à carreaux : le Musée du Gâteau Basque à Sare balance la vraie recette, l’authentique, la seule qui vaille. Une bombe calorique qui fait saliver plus vite qu’un chien de berger devant une côte de bœuf. Avec ça, même ta belle-mère pourra arrêter de massacrer la pâte sablée et de servir des trucs qui ressemblent plus à une semelle qu’à une douceur basque.

L’histoire, elle, vaut son pesant de cerises noires. Les sœurs Dibar, alias les « sœurs Biskotx », en sont les mamans officielles. Depuis Cambo-les-Bains, elles ont refilé à tout le coin le virus de cette tuerie sucrée. Et aujourd’hui, que tu sois crème pâtissière ou confiture de cerise, t’as plus d’excuse pour pas enfourner un gâteau qui envoie du bois. C’est carré, c’est précis, et ça se déguste en bombant le torse comme si t’étais entré à la confrérie du gâteau basque.

Attention quand même : une fois le nez dans la recette, tu risques de pas t’arrêter. Le lendemain, petit déj’, goûter, apéro (pourquoi pas ?), toutes les occasions sont bonnes pour se recouper une part. Et si tu veux faire ton malin à table, lâche le mot magique en basque : Etxeko Biskotxa. Ça fera son effet direct, entre deux bouchées de ce bijou qui met tout le monde d’accord.

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