Beaucoup de chiards ont eu un doudou étant enfant. Ce morceau de tissu informe, souvent déchiré, parfois pestilentiel, mais qui vaut plus que tout l’or du monde.
Un enfant peut vivre sans manger pendant trois jours, mais perdez son doudou, et vous verrez ce qu’est la vraie détresse humaine.
Une relation fusionnelle et irrationnelle
Le doudou n’est pas un simple objet, c’est une extension de l’âme de l’enfant.
- Il sert de réconfort.
- Il sert de bouclier contre les monstres sous le lit.
- Il sert d’oreiller, de cape, parfois même de serpillière.
Et pourtant, aucune machine ne peut le laver sans provoquer une crise existentielle.
Le doudou perdu : Drame national
Perdre son doudou, c’est le chaos absolu.
- L’enfant hurle comme si on venait d’anéantir son univers.
- Les parents retournent la maison comme une scène de crime.
- Les grands-parents sont mobilisés, la police est presque appelée.
S’il est perdu en extérieur, alors là, c’est la fin du monde.
Les parents refont tout l’itinéraire en mode détective, fouillent les poubelles, offrent une récompense, et postent des avis de recherche sur Facebook.
Le doudou de rechange : Le grand mensonge
Certains parents prévoyants ont tenté d’acheter un doudou en double.
Grave erreur.
- L’enfant SAIT.
- L’enfant SENT.
- L’enfant REGARDE ce faux doudou avec un mépris absolu.
Parce que le doudou officiel a une odeur, une texture, une âme.
Alors que le clone… est une imposture.
Le Verdict ?
Le doudou n’est pas un simple objet. C’est une relique sacrée.
Alors si vous croisez un doudou perdu dans la rue, ramassez-le avec respect.
Quelque part, un enfant vit actuellement son pire cauchemar.
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