Cette tradition absurde du changement d’heure qui nous fait croire qu’en décalant nos montres, on va soudainement maîtriser le temps et l’énergie, eh ben ça ne marche toujours pas !
Deux fois par an, on joue aux apprentis sorciers avec notre horloge biologique sous prétexte d’économies d’énergie… que personne n’a jamais vues sur sa facture EDF.
Le changement d’heure, mode d’emploi :
- Printemps : l’heure d’été, ou le vol organisé d’une heure de sommeil
- On se couche à 23h, mais en fait il est minuit.
- Le réveil sonne à 7h, mais en vrai il est 6h, donc tu veux mourir.
- Pendant une semaine, tu ressembles à un zombie sous caféine, oscillant entre micro-siestes et crises de nerfs.
- Automne : l’heure d’hiver, ou la fausse bonne idée
- Tu crois gagner une heure de sommeil.
- Mais en fait, il fait nuit à 16h, donc tu veux mourir aussi.
- Ton chat, ton gosse ou ton estomac ne comprennent plus rien et réclament à manger à des horaires absurdes. Bon le chat, c’est pareil en temps normal…
Mais pourquoi on fait ça déjà ?
- Pour l’agriculture ? Faux, les tracteurs ont des phares.
- Pour l’économie d’énergie ? Ah oui, c’est vrai qu’on se chauffe à la bougie et qu’on s’éclaire à la lanterne en 2025.
- Parce que c’est une tradition ? Comme la saignée au Moyen Âge, quoi.
Le Verdict : arrêtez ce cirque
Chaque année, on nous promet que c’est la dernière fois. Et chaque année, on remet ça.
Donc soit on garde une seule heure et on arrête de nous perturber pour rien, soit on va plus loin et on change carrément de fuseau horaire. Après tout, quitte à tout décaler, autant vivre à l’heure de New York.