À l’ESTIA, on n’a peut-être pas de micro doré, mais on a des idées plein les circuits ! L’école d’ingénieurs de la Technopole Izarbel à Bidart vient de lancer “La voix de l’ingé”, un podcast tout neuf qui file la parole à ceux qui bidouillent le monde de demain. Car derrière nos bagnoles qui roulent toutes seules, nos fringues connectées ou nos applis qui prédisent la pluie, y’a pas des magiciens, mais bien des ingénieurs qui font chauffer les méninges. Et ça, l’école veut le faire entendre haut et fort, histoire de dépoussiérer un peu l’image du geek enfermé dans son labo.
Le pitch ? Un épisode par mois, des témoignages concrets, et des jeunes de 15 à 25 ans dans le viseur. Objectif : prouver que l’ingénierie, ce n’est pas qu’un truc de matheux coincé dans une équation, mais un vrai moteur du quotidien, de la santé au spatial en passant par le sport ou la robotique. Pour le premier épisode, baptisé “Quand l’ingénieur s’invite dans la mode”, le micro est tendu à Kevin Viot, ex-élève de l’école et big boss de la transformation industrielle chez Christian Dior Couture, accompagné de Valentina Nardi, de la chaire BALI. Ensemble, ils causent luxe, cuir et durabilité, façon haute couture et haute technologie.
Avec cette série, l’ESTIA ne se contente pas de brasser de l’air : elle veut brancher les jeunes sur la fréquence du futur. Ici, on cause transition écolo, innovation responsable et économie régénérative. “La voix de l’ingé”, c’est donc un peu le Spotify de l’intelligence pratique, un mix entre techno et conscience, où chaque invité prouve qu’on peut avoir les mains dans les circuits sans perdre le cœur dans la planète. Bref, à Bidart, on ne fait pas que former des cerveaux : on les met sur haut-parleur.
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