Acheter un meuble IKEA, c’est croire à une utopie scandinave : une notice simple, un montage rapide, un monde où tout s’emboîte parfaitement.
Sauf que non. Rien ne s’emboîte, rien n’est simple, et ton samedi après-midi est foutu.
L’illusion du “Facile”
Sur le papier, tout semble clair :
- Temps de montage : 30 minutes.
- Niveau de difficulté : Facile.
- Nombre de pièces : 4 (en apparence).
Mais en ouvrant le carton, tu découvres que ton meuble est en kit moléculaire.
452 vis, 127 planches, et 6 sacs de boulons avec des noms venus d’une autre galaxie.
Le début de la galère
- Première étape : Tu cherches la notice (évidemment planquée sous le carton).
- Deuxième étape : Tu identifies les pièces… sauf que les noms ne correspondent pas.
- Troisième étape : Tu commences à monter… et tu réalises que t’as inversé deux panneaux.
Et c’est là que tout bascule.
La spirale du désespoir
- 1h30 plus tard, t’as déjà maudit la Suède et tu parles à voix haute à un plan de travail.
- 2h15, tu t’énerves sur la vis “LÖRFTEGEN” qui refuse de s’enfoncer.
- 3h00, t’es en sueur, agenouillé sur ton parquet, à essayer d’aligner un tiroir bancal.
- 3h30, tu découvres qu’il te reste 4 vis et une planche entière. Aucune idée d’où elles viennent.
- 4h00, c’est terminé… mais le meuble penche dangereusement.
Le Verdict ?
IKEA t’a encore eu.
Le “30 minutes de montage” ? Un mensonge international.
La notice “facile” ? Un test de logique tordu.
Et toi ? Un survivant.
Mais bon, au moins, t’as un meuble. Enfin… jusqu’à ce qu’il s’écroule.