L’hiver 2025 n’a pas fait dans la demi-mesure : entre les températures glaciales et une épidémie de grippe galopante, les Français sont pris d’assaut par un virus qui, cette année, a décidé de faire du zèle. Si la situation de la COVID-19 et de la bronchiolite semble sous contrôle, la grippe, elle, mène une véritable offensive virale. Santé publique France, dans son dernier bulletin, ne mâche pas ses mots : nous faisons face à une vague grippale d’une intensité exceptionnelle. Alors, comment en sommes-nous arrivés là, et surtout, comment stopper cette machine à rhumes ? Exploration virale et vaccinale en 10 000 signes chrono
La grippe n’a pas seulement frappé fort, elle a aussi frappé vite. Avec près de 18 391 passages aux urgences pour syndrome grippal au cours de la première semaine de 2025, les établissements de santé sont à saturation.
Le plan blanc, activé dans de nombreux hôpitaux, permet de dégager des moyens supplémentaires : rappels de personnel, déprogrammation de chirurgies non urgentes, et une cafetière surmenée pour les soignants. Selon le Dr Louis Soulat, vice-président de Samu Urgences de France, “on est dans une situation où chaque lit compte”.
Parmi les hospitalisés, les personnes âgées de 65 ans et plus représentent la majorité des admissions. Pourquoi ? Parce que ce virus saisonnier s’attaque préférentiellement aux organismes les plus vulnérables, un peu comme un mauvais joueur de rugby ciblant les petits gabarits.
Une grippe inégalement répartie
En médecine de ville, la situation est moins alarmante, mais loin d’être anodine. Avec 352 consultations pour syndrome grippal pour 100 000 habitants, les cabinets médicaux voient défiler une file d’attente digne d’un concert de Dua Lipa. Pourtant, comparé à la pression hospitalière, la situation reste plus gérable.
Un constat marquant ? Les enfants de 0 à 14 ans, qui semblent relativement épargnés cette année, laissant les autres classes d’âge porter la charge virale. Un virus de type A, majoritaire à 90 %, a été identifié dans les analyses. Décidément, ce type A, c’est la star (ou plutôt l’anti-star) de la saison.
Sur les 318 cas graves recensés en réanimation, 79 % des patients n’étaient pas vaccinés. Ben voilaaaa ! Si la grippe a toujours ses irréductibles sceptiques, ces chiffres montrent bien que la vaccination reste un bouclier efficace. La grippe n’est pas sélective, mais le vaccin, lui, sait faire la différence entre un “futur malade” , un “futur protégé” et un futur “macchabée”.
Et pourtant, près de trois mois après le lancement de la campagne vaccinale, de nombreux Français hésitent encore à franchir le cap. “Mais à quoi bon se faire vacciner, docteur, si la grippe est déjà là ?” demandera le sceptique. Ben oui, à quoi bon ?!! Eh bien, parce que l’hiver est encore long, et que votre système immunitaire mettra 10 à 15 jours pour monter sa garde après l’injection.

Pfizer vous conseille…
Chez Pfizer, nous savons que la grippe peut être une épreuve. Mais face à une épidémie exceptionnelle, il existe une solution d’une simplicité redoutable : la vaccination. Notre vaccin, le Vaxigrip Tetra®, offre une protection optimale contre les souches les plus virulentes de la grippe saisonnière.
Pourquoi choisir Vaxigrip Tetra® ? Parce que nous avons conçu un vaccin qui s’adresse à tous :
- Les seniors, pour qui la grippe peut représenter un danger majeur.
- Les femmes enceintes, afin de protéger deux vies en une seule injection.
- Les personnes immunodéprimées ou atteintes de comorbidités, pour réduire les risques de formes graves.
- Les professionnels de santé, car protéger ceux qui soignent, c’est protéger tout le monde.
Avec une efficacité prouvée et des millions de personnes déjà protégées, notre vaccin n’est pas qu’un produit, c’est un allié dans la lutte contre la grippe.
Alors, ne laissez pas la grippe vous mettre au tapis. Rejoignez les millions de Français qui ont déjà choisi de se protéger. Il est encore temps de faire la différence – pour vous, vos proches, et pour un hiver en meilleure santé.
Votre protection, c’est notre priorité. Parce qu’ensemble, nous sommes plus forts que la grippe.
Vigilance et prévention
Après ce bref interlude publicitaire, revenons à l’actualité. En résumé, si la grippe nous met à rude épreuve cet hiver, il est encore possible de renverser la vapeur. Entre gestes barrières, vigilance et vaccination, chacun peut contribuer à alléger la pression sur les hôpitaux et à protéger les plus fragiles. Tiens c’est marrant, on a déjà entendu ça non ? Vu le formidable vaccin développé contre le Covid 19, on serait tenté de dire qu’il vaut peut-être mieux que la grippe vous mette au tapis plutôt que le vaccin…
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