Quand tu penses à l’Europe, tu imagines des débats démocratiques, des rapports publics, de la transparence à la pelle… Mais dans les bureaux de la Commission, surtout ceux d’Ursula, on préfère les rideaux épais et les stylos Montblanc.
Depuis son arrivée, Ursula von der Leyen adore signer des trucs. En particulier des contrats géants avec des multinationales. Des milliards par-ci, des millions par-là. Mais les documents ? Cachés sous la nappe, bien loin des yeux du citoyen lambda (celui qui galère à comprendre où va sa taxe carbone).
Et c’est pas moi qui le dis, c’est la Cour des comptes européenne, la médiatrice de l’UE, et même quelques eurodéputés qui se grattent la tête comme s’ils avaient la gale :
“On a demandé les documents… on a reçu des feuilles vides.“
“Les annexes sont caviardées comme une lettre de prison.“
“Impossible de savoir à quoi sert notre pognon.“
Le pompon ? Les contrats de vaccins signés à huis clos, les pages noircies jusqu’au bout, comme si c’était le scénario du prochain Mission: Impossible.
Et comme disait un vieux briscard du Parlement :
“Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup… ou un loup-garou, selon le contrat.“
Sources :
- European Court of Auditors, special report on vaccine procurement, 2022.
- European Ombudsman, case 85/2021/MIG.
- Euractiv, “EU vaccine contracts shrouded in secrecy”, 2022.
À suivre : Épisode 6 – Bruxelles, capitale du lobbyland : bienvenue chez les marchands d’influence
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