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Dr Osasuna : Un grand pas contre le reste à charge du cancer du sein !




Bienvenue dans votre émission médicale préférée, “Les consultations du Dr Osasuna” ! Aujourd’hui, nous allons parler de cancer du sein et d’une ordonnance signée… l’Assemblée nationale ! Un sujet aussi sérieux que nécessaire, à savoir la nouvelle loi adoptée par l’Assemblée nationale pour mieux rembourser les soins. Parce que si combattre la maladie est une épreuve en soi, il n’est pas question d’y ajouter un marathon administratif et financier

Mes chers patients et patientes, vous le savez, quand on parle de cancer du sein, on pense bien sûr aux traitements médicaux, mais aussi aux coûts cachés qui viennent avec. Entre les consultations, les soins de support, les traitements complémentaires et même les prothèses vendues au tarif d’un rein sur le marché noir, certaines patientes voyant leur budget passer en phase terminale, finissent par faire un choix dramatique : se soigner ou payer leur loyer. Double peine !

Jusqu’ici, le reste à charge moyen pour une patiente atteinte de cancer du sein s’élevait à 1 400 euros. Une somme qui provoque une arythmie sévère à votre compte bancaire. Résultat : certaines patientes renoncent à des soins essentiels faute de moyens. Et là, c’est le double effet Kiss Cool – sauf qu’il n’y a rien de cool : non seulement on se bat contre la maladie, mais en plus, on doit jongler avec un agenda de ministre pour éviter la faillite.

Heureusement, l’Assemblée nationale a prescrit une ordonnance miracle : une loi adoptée à l’unanimité pour que le cancer du sein ne soit plus un cancer pour le portefeuille !

Traitement de choc : un remboursement élargi et un soutien renforcé

Attention, c’est du sérieux ! La nouvelle loi, votée le 28 janvier, prévoit une prise en charge complète de plusieurs soins qui étaient jusqu’ici partiellement ou pas du tout remboursés. On passe en revue la liste des nouveaux médicaments… euh, remboursements !

Chirurgie reconstructrice : fini les dépassements d’honoraires XXL

Côté bloc opératoire, l’Assemblée a aussi décidé d’opérer une réforme : les dépassements d’honoraires pratiqués pour les reconstructions mammaires post-mastectomie seront encadrés. Parce que comme pour une pizza margherita en Italie, ça devrait être accessible à tout le monde ! Parce qu’aujourd’hui, 15 % des femmes renoncent à cette intervention pour des raisons financières. On ne peut pas laisser des patientes avec une moitié de solution parce que leur banquier a dit non ! Avec cette loi, la chirurgie reconstructrice ne sera plus un privilège mais un droit accessible à toutes.

Le montant du plafonnement sera négocié entre l’Assurance maladie et les professionnels de santé. En clair : on met fin aux factures qui font mal au moral, les chirurgiens ne pourront plus facturer une poitrine au prix d’une Tesla.

Prévention et accompagnement : de la gym, de la psy et moins de stress

Si soigner le corps est primordial, prendre soin de l’esprit et du bien-être général des patientes l’est tout autant. On le sait : le mental, c’est 50 % de la guérison. Bonne nouvelle, la loi inclut aussi un budget spécial pour le bien-être des patientes.

Grâce à cette loi, une enveloppe budgétaire sera dédiée au financement :

Verdict du Dr Osasuna : une ordonnance qui fait du bien

Mes chers patients, vous l’avez compris : cette loi est une avancée essentielle pour les 700 000 femmes concernées par le cancer du sein en France.

Le combat contre la maladie est déjà un défi en soi. Il était temps d’alléger le fardeau financier et d’assurer à chaque patiente un accès équitable aux soins. Parce que la santé n’a pas de prix… et que ça ne devrait pas être une question de moyens !

Alors, si cette loi vous donne envie d’applaudir votre député préféré, n’hésitez pas. En attendant, prenez soin de vous, faites-vous dépister, et rappelez-vous, le Dr Osasuna en connaît un rayon, il vous soigne avec sérieux, mais jamais sans une bonne dose d’humour !

À la semaine prochaine pour une nouvelle consultation où nous décortiquerons un autre sujet brûlant : pourquoi les médecins ont-ils une écriture illisible ?

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