Non, cher lecteur fidèle, les séries espagnoles ne se cantonnent pas à des braqueurs masqués et des ados riches qui se disputent à la piscine ! Avec “Dernière Nuit à Tremor”, l’Espagne prouve une fois de plus qu’elle sait manier le suspense comme une vieille tante manie les ragots : avec beaucoup de tension, un soupçon de drame, et une fin qui te laisse en PLS sur ton canapé
Résumé express pour ceux qui ont zappé l’info
Imagine : Peter Harper, un compositeur en pleine crise existentielle (parce que pourquoi pas), décide d’aller se ressourcer dans une maison paumée en Irlande. Un coin si isolé qu’il n’y a même pas de réseau pour stalker ses ex sur Instagram. Mais voilà, il y a un hic : une nuit d’orage, le gars se prend la foudre (littéralement) et, comme par magie, se met à avoir des visions. Et pas des visions mignonnes du genre “tiens, je vais enfin réussir ma vie“, non : des visions glauques, avec des secrets bien pourris qui remontent à la surface.
Ajoute à ça des voisins louches, une ambiance pesante, et tu obtiens une série qui te met plus de tension qu’un dîner de famille où on parle politique.
Les critiques s’emballent (et nous aussi)
Les spectateurs ont adoré. Ou presque. Certains. Mais bon, en Espagne, c’est déjà pas mal.
AlloCiné : “Un thriller psychologique qui commence lentement, mais monte en puissance. Les deux derniers épisodes ? Une claque. J’ai failli avaler mon café de travers.“
SensCritique : “Les trois premiers épisodes posent l’intrigue. Puis ça explose. Littéralement. Ou presque.“
Reddit : “Pourquoi personne ne parle de cette série ? Sérieusement, regardez-la, sinon je viens chez vous avec le DVD.“

Les deux derniers épisodes : un uppercut narratif
Bon, soyons clairs : les débuts de “Dernière Nuit à Tremor”, c’est comme un premier rendez-vous un peu timide. Ça prend son temps, ça pose les bases, et tu te demandes si tu vas matcher. Mais dès l’épisode 4, ça décolle, et les deux derniers épisodes ? Une apothéose ! Suspense insoutenable, révélations qui claquent, et toi, en pyjama, à hurler : “Non ! Dis-moi pas que c’est pas vrai !“
Entre “La Casa de Papel”, “Élite”, et maintenant “Dernière Nuit à Tremor”, les Espagnols sont devenus les rois du binge-watching. Pourquoi ? Parce qu’ils savent mêler drame, tension, et un soupçon de folie qui te fait dire : “Mais ils sont complètement timbrés, ces Espagnols !”
Mention spéciale à la réalisation, qui te plonge direct dans l’ambiance irlandaise (pluie, vent, et zéro espoir). Et les acteurs ? Excellents. Surtout Peter, qui passe de mec perdu à prophète tourmenté avec une intensité qui ferait pâlir ton prof de yoga.
Le bonus des séries espagnoles : l’accent
Regarder “Dernière Nuit à Tremor” en VO, c’est un vrai kif. L’accent espagnol sur des dialogues sérieux, ça donne un côté “sexy mais flippant”. Exemple :
“Pedro, ¿qué es esta visión?“
“No lo sé, pero creo que estamos jodidos.“
Traduction : ” Pedro, qu’est ce que cette vision? “Je ne sais pas, mais on est foutus.” Et toi, tu ris nerveusement, parce que tu sais qu’il a raison. Et en plus on vous file des cours d’espagnol, que demande le peuple ?!
Pourquoi tu DOIS la regarder
Si tu veux :
1. Un thriller qui te tient en haleine (et te pousse à manger tout un paquet de chips sans t’en rendre compte).
2. Un casting impeccable (mention spéciale à la foudre, qui fait un travail remarquable).
3. Une série qui finit bien (dans le sens où elle finit de te détruire mentalement).
Alors fonce sur “Dernière Nuit à Tremor”. Tu risques de ne plus dormir tranquille pendant un moment, mais hé, c’est le prix à payer pour une bonne série, non ?
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