À Bidart, Lawxer décrypte vos contrats à la vitesse d’un greffier sous Red Bull




Si t’as déjà signé un contrat en te disant « ça a l’air carré » avant de pleurer des larmes de sang en découvrant la clause en tout petit à la page 47, alors l’histoire de Lawxer, née à Bidart, va te causer grave. Parce qu’ici, on parle pas de lire ton contrat en diagonale entre deux mails : on parle d’une machine dopée à l’IA et boostée au jus de cerveau d’avocat pour te faire gagner du temps, des cheveux, et éviter les embrouilles juridiques qui font tourner la tête

François Gorriez, l’as du droit numérique et roi de la clause bien tournée, s’est mis un jour en tête que l’IA pouvait servir à autre chose qu’à pondre des dissertations mal torchées sur Napoléon. Armé de son code pénal dans une main et du code informatique dans l’autre, il a bricolé un premier proto de ce qui allait devenir Lawxer, un logiciel qui scanne ton contrat comme un détective privé sous amphèt’. Son mojo ? Détecter toutes les entourloupes, tous les pièges sournois qui se cachent dans les lignes à tiroirs et te sortir un Juri-Score maison, à la sauce Nutri-Score, mais version justice : de A (tranquille) à E (faut courir, mec).

Un Nutri-Score du contrat

Alors comment ça marche leur tambouille juridique ? Easy money : tu balances ton contrat sur leur site (lawxer.ai, la baraque virtuelle), et en 24h chrono – pas plus long qu’une mise en bière d’urgence –, tu reçois une analyse béton. Avec en prime : les clauses craignos surlignées, des modèles de clauses propres à recoller si besoin, et surtout une traduction simultanée du charabia juridique en bon vieux français de comptoir.

Parce que oui, Lawxer, c’est pas juste une IA qui fait du bruit avec la bouche comme ChatGPT. Ici, on te promet pas des réponses freestyle façon loto du droit : chaque rapport est revérifié par un juriste en chair et en neurones. Histoire de pas te retrouver avec un contrat qui te ferait vendre ton âme, ta belle-mère et ta collection Panini sans t’en rendre compte.

François Gorriez le répète à qui veut l’entendre : « L’IA, c’est notre stagiaire modèle : jamais malade, jamais en grève, mais qui rend sa copie à relire avant de la rendre au client. » Et vu la tronche de certains contrats qu’on signe au quotidien, on se dit que filer le bébé à une IA sous haute surveillance, c’est peut-être pas si con.

Des tarifs qui font pas sauter les plombs

Parlons gros sous. Parce que souvent, les gadgets tech te font raquer comme si t’achetais une Tesla pour lire un papier. Eh ben là, surprise : 69 balles le contrat. Pas de quoi vendre un rein sur eBay. Et si t’en as un paquet à faire analyser (genre tu bosses dans les achats et que tu signes plus vite que ton ombre), y’a même du tarif dégressif, façon lot de yaourts au supermarché.

En face, les solutions anglo-saxonnes – qui te parlent en dollars et en clauses incompréhensibles – te demandent jusqu’à 3 000 euros pour la même sauce, sans la baguette ni le béret. Moralité : avec Lawxer, tu fais bosser local, tu soutiens l’économie basque et t’as même le droit d’aller fêter ta signature au trinquet du coin.

Et si tu te demandes si c’est sérieux, t’as qu’à voir la tronche du service : données hébergées en France, anonymisation béton, conformité RGPD en mode no fake. Bref, ici, c’est pas la fête du slip numérique : tes infos sensibles sont traitées comme des VIP dans un carré VIP sécurisé.

De la start-up à la vraie machine de guerre juridique

À la base, c’était un délire d’avocat geek qui voulait se faire gagner du temps. Aujourd’hui, Lawxer, c’est un vrai couteau suisse pour toutes les boîtes qui veulent pas finir empapaoutées dans des contrats piégés. PME, grosses boîtes, directions achats ou juristes à la bourre : tout le monde peut trouver son bonheur dans ce système carré comme une salle d’audience.

D’ailleurs, plusieurs clubs de dirigeants et réseaux pro se sont déjà fait passer au peigne fin par la machine Lawxer. Et vu la popularité qui grimpe, pas de doute : François Gorriez et son associé Serge Liatko (le cerveau derrière le développement informatique) sont en train de se tailler un joli bout de marché, comme on taille un costard à un mauvais plaideur.

Parce que soyons clairs : aujourd’hui, si t’as pas un œil sur tes contrats, t’es un peu comme un marin sans sextant. Et avec la multiplication des normes, des clauses en béton armé et du RGPD qui te tombe dessus plus vite qu’une prune de radar automatique, t’as intérêt à avoir du matos solide.

IA, data, cybersécurité : la sainte trinité version Bidart

Le 14 avril, histoire d’enfoncer le clou, François Gorriez est allé prêcher la bonne parole lors d’une conf’ au Connecteur de Biarritz : « IA, data, cybersécurité : comment organiser et garantir votre conformité ? » Tu vois le tableau : du droit, de la tech, et du stress en moins pour tous ceux qui pensent encore que « RGPD » c’est un modèle de bagnole italienne.

Et pour ceux qui flippent à l’idée que l’IA bouffe les jobs de juristes, François est catégorique : « Lawxer, c’est l’ami du juriste, pas le croque-mitaine. » Autrement dit : l’outil t’aide à pas signer ton arrêt de mort sans le savoir, mais pour rafistoler un contrat ou plaider ta cause, t’auras toujours besoin d’un avocat en chair et en barreau.

En résumé pour les feignasses qui n’aiment pas lire:

  • T’as un contrat chelou ? Upload, analyse en 24h, résultat clair comme de l’eau de roche.
  • T’as peur des arnaques ? Juristes en backup, IA sous contrôle, RGPD respecté.
  • T’as pas envie de raquer un bras ? 69 euros. Même pas mal.
  • T’as envie d’un monde meilleur ? Lawxer, c’est basque, c’est français, et c’est pas une pompe à fric.

Bref, avec Lawxer, signer un contrat, c’est un peu comme passer par la douane avec un bagage clean : tu respires mieux en sortant. Et ton comptable aussi.


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